En cinquante ans, Jack London est passé de la Bibliothèque verte à la Pléiade, du stade de « romancier pour la jeunesse », auteur de récits d’aventures (pour les garçons) et de récits animaliers (pour les filles), à celui, sinon de « classique américain », du moins d’auteur suffisamment respectable pour être publié sous la célèbre reliure (il est vrai
Jack London redécouvert
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