Comme s’il voulait marquer ouvertement son détachement face aux petits jeux politiques, dès le lendemain des élections européennes, desquelles il est sorti triomphateur, Matteo Renzi, le nouveau chef du gouvernement italien, a tourné son attention vers l’extérieur : l’Europe bien sûr, mais pas seulement. Il a entrepris un tour d’Asie à la tête d’une mission d’industriels, sans craindre de laisse
Italie. Le scandale de l’espoir
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