Perry LINK, Une étoile Polaire Dans les études chinoises, personne selon moi n’a autant que Simon Leys associé une profonde érudition, une connaissance pénétrante et une prose étincelante. J’ai lu ses Ombres chinoises à la fin des années 1970, alors que j’étais encore (c’est un euphémisme) sous l’influence de Mao. Mais, en lisant Ombres chinoises, je sentais que, malgré mes sympathie
In memoriam Simon Leys (1935-2014): Une étoile Polaire
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