C’est à Ombres chinoises que je dois d’avoir fait la connaissance de Simon Leys. En novembre 1974, la lecture du livre m’enthousiasme au point que je lui exprime aussitôt mon admiration et joins à ma lettre des articles en souffrance au Monde, où je raconte avec moins de talent que lui les déboires du voyageur empêché de rencontrer les Chinois et de leur parler (j’avais « guidé » en septembre un voyage de normaliens en Chine). Je conclus ma recension d’O
Un homme merveilleux et sensible
In memoriam Simon Leys (1935-2014)
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