Ce qui frappe, dans cette vaste bataille des nations, c’est la médiocrité persistante des protagonistes. Ni parmi les chefs d’État, ni parmi les militaires, ni parmi les diplomates – Albert Ier, presque un jeune homme, excepté –, on ne voit se lever de génie. Nulle part on n’entend une voix qui domine les autres, nulle part on ne sent une intelligence ni une volonté directrices. Les hommes de quarante à soixante-dix a
Ils n’ont plus été les maîtres de la mécanique
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