Le 7 mai 2012, au lendemain des élections législatives grecques, on pouvait succomber à la tentation de la comparaison. La République hellénique n’était-elle pas sur le point de devenir une nouvelle République de Weimar ? La crise économique et le taux de chômage galopant, le basculement sporadique de la société dans les manifestations agitées et la violence des extrêmes, le désaveu sans précédent des deux partis de pouvoir qui avaient perdu en deux ans entre la moitié et
Grèce : une idée républicaine inaboutie
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