Grandeur de Titus Ariston

Vous seriez surpris de voir avec quelle patience il supporte la maladie, comment il lutte contre la douleur, comment il résiste à la soif, avec quelle tranquillité il souffre les plus cruelles ardeurs de la fièvre. Ces jours passés, il nous fit appeler quelques-uns de ses plus intimes amis et moi. Il nous pria de consulter sérieusement ses médecins et nous dit qu’il voulait prendre son parti : quitter au plus tôt une vie douloureuse, si la maladie était incurable ; attendre pati

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