Parmi les catholiques — je veux dire les catholiques qu’on dirait aujourd’hui engagés — que fréquenta François Guizot, Henri Lacordaire ne figure pas au tout premier rang. Montalembert, à cet égard, est beaucoup mieux placé, comme en fait foi une abondante correspondance qui montre, dans les dernières années, une intimité d’idée et de coeur d’une étroitesse longtemps insoupçonnée. Mais l’étude, sur ce point, a été esquissée1, ce qui n’est
François Guizot et Henri Lacordaire
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