C’est avec une réelle sympathie pour son auteur, plus que pour les affirmations développées, que j’ai lu le réquisitoire dressé par Fabrice Bouthillon contre la Rue d’Ulm et contre les classes qui y préparent les littéraires, ces « khâgnes » que le monde nous envie, mais qui laissent parfois des sentiments mêlés à ceux qui en ont connu les contraintes. Même quand il est excessif, Fabrice Bouthillon sait soutenir l’intérêt de ses lecteurs par un art généralement maîtris
Fécondité de l’École normale et des classes préparatoires
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