« Esprits sensibles s’abstenir ! »

Nous les avons désormais entre les mains, sous les yeux, ces deux précieux volumes de la Pléiade consacrés au Théâtre élisabéthain ! Enfin, tout un peuple de lecteurs va pouvoir vérifier par lui-même que le génie collectif d’une grande nation littéraire n’a rien à envier au génie solitaire d’un Shakespeare. Il manquait en France, et en français, un tel ensemble de pièces anglaises de cette période ; à présent nous l’avons, pour notre plus grand plaisir,

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