Avec Thérèse Delpech, une amitié de trente ans avait grandi et s’était fortifiée au long d’une conversation devenue une part très précieuse de ma vie. J’ose penser que nos échanges presque quotidiens, dans les dernières années de Thérèse, se mêlèrent à ceux de tous ses amis pour affermir chez elle cet immense courage que nous devinions à peine, ignorants que nous étions de l’extrême gravité de son mal, rassurés à tort par cette sérénité accueillant
En souvenir de Thérèse Delpech
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