En ce moment solennel, je pense à l’enfant que j’étais et qui fut reçu un dimanche, avec quelques camarades, par Jean Guéhenno. L’enfant se tira, tant bien que mal, de quelques exercices littéraires et reçut un livre des mains du maître. Il avait connu, ce jour-là, le disciple de Jean-Jacques, les vocations de l’Instruction publique et le visage de l’Académie française. Instruire devint ma passion et voici que vous m’offrez l’incomparable privilège de vous rejoindre
Éloge de Marc Fumaroli
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