Quinze ans après sa mort, Marguerite Duras est « pléiadifiée », une édition impeccable, intelligemment construite, qui essaie de rendre justice à chaque texte, de le resituer dans l’ensemble de l’œuvre, qui n’accumule pas les notes inutiles, et ne sombre pas dans l’hagiographie bêtifiante (à ceci près que, porté par son enthousiasme, l’éditeur crédite Duras d’avoir été la première, avec Hiroshima mon amour, à avoir publié le texte d’
Duras en Pléiade
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