Aragon, Louis Voici vingt ans que je suis séparé d’Aragon qui me hait de plus en plus ; j’ai eu certes contre lui des mouvements de colère, et j’ai été le premier à faire éclater le malaise qui sourdait sous nos gentillesses et tendresses d’adolescents. Du reste nous sommes profondément séparés philosophiquement : je ne puis endurer ce matérialisme affecté ou sincère chez ce garçon qui a écrit de si belles pages sur l’idéalisme subjectif1. À caus
Drieu et ses amis Aragon et Malraux
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