Docteur Johnson : l’utilité du latin

Coleman dans une note à sa traduction de Terence, à propos des connaissances de Shakespeare, demande : « Qu’en dit Farmer ? Qu’en dit Johnson ? » Réponse de notre docteur : « Je ne peux répondre pour Farmer, quant à moi c’est un débat dans lequel je ne suis jamais entré. J’ai toutefois dit : Shakespeare savait assez de latin pour rendre grammatical [grammaticize] son anglais. »

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