Madame la présidente, Mesdames et Messieurs les députés, Cette épreuve de vérité, comme chef du gouvernement, avec l’assentiment du président de la République, je l’ai voulue. J’ai voulu ce rendez-vous. Et certains d’entre vous, les plus nombreux, les plus sensés sans doute, ont pensé que c’était déraisonnable, que c’était un trop grand risque. Or je pense exactement le contraire. Le plus grand risque était de ne pas en prendre, de laisser se continuer les choses sans r
Discours prononcé devant l’Assemblée nationale, le 8 septembre 2025
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
En achetant cet article, vous aurez accès à tous les articles "Revue de presse n° 192".