Grâce aux progrès de la science, l’homme s’est extrait des équilibres naturels qui régulaient les effectifs de son espèce par la famine et la maladie, et il a remarquablement prospéré1. Grande est la tentation de penser que ce qui a réussi en physique, en chimie, en médecine vaut aussi pour l’économie : là encore, l’homme devrait s’extraire de l’équilibre naturel des marchés pour y substituer une planification consciente et organisée. Mais, rés
Deux régulations
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