Deux idées ridicules

L’idée d’un art populaire comme d’un art patriotique, si même elle n’avait pas été dangereuse, me semblait ridicule. S’il s’agissait de le rendre accessible au peuple en sacrifiant les raffinements de la forme « bons pour des oisifs », j’avais assez fréquenté de gens du monde pour savoir que ce sont eux les véritables illettrés, et non les ouvriers électriciens. À cet égard, un art populaire par la forme eût été destiné plutôt aux mem

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article