Des a priori qui faussent le débat

Michael HARRIS, Des a priori qui faussent le débat À mon avis, le mérite de l’article de Garfunkel et Mumford tient moins aux propositions, discutables, des auteurs en faveur d’une politique spécifique qu’à l’invitation à reconsidérer des a priori sur les objectifs de l’enseignement mathématique qui n’ont jamais été remis en question. À en juger par la nature des réactions françaises (généralement négatives) à leur article, il faut réviser de

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