Vendredi 12 février 1965 J’ai déjeuné avec Guy Mollet chez Dayan. C’était la première fois depuis des années. Nos rapports sont tièdes. Il m’a barré, sous la IVe, chaque fois que Coty a voulu m’appeler à la présidence. Je ne suis pas de son obédience, condition, alors, sine qua non. Mollet a l’esprit étroit. C’est un partisan qui ne connaît que « l’appareil », les « motions » (préfabriquées) de congrès, les astuces qui tienne
De la politique à l’amour
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