De Goldman Sachs à Servier, l’emprise du lobbying

Que ce soit dans le secteur bancaire ou pharmaceutique, la capacité des grands groupes à infiltrer les cercles de décision des gouvernements n’est plus à démontrer7. Ainsi Barack Obama vient de nommer à la tête de ses conseillers économiques Gene Sperling, le même qui avait perçu, en 2008, près de 900 000 dollars [673 000 euros] de Goldman Sachs. Ainsi on apprend que plusieurs membres des cabinets des ministres de la Santé français ont été, à diverses reprises, rétribués

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