L’ouvrage de Guillaume Métayer, portant sur les affinités électives entre Nietzsche et Voltaire, constitue, à bien des égards, un modèle du genre. En premier lieu, par la nouveauté du sujet traité : si, comme il le note, le problème de la relecture de Nietzsche par Voltaire n’est pas à proprement parler neuf – comment en effet oublier l’épigraphe de Humain, trop humain ? –, en revanche, rendre compte avec précision et inventivité de la fascination qu’a
« Danse dans les chaînes » et « libération de l’esprit »
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