Saint-Germain-des-Prés Philippe Meyer. — Nous sommes chez vous à Saint-Germain-des-Prés. Des deux fenêtres de votre bureau nous pouvons voir le café de Flore et les Deux Magots et, si je ne me trompe pas, la fenêtre de l’appartement qu’habita quelqu’un que vous avez bien connu quand les hasards de la vie et les conséquences de la guerre vous ont conduit en France : Sartre. Sa mère habitait l’appartement dont on voit les fenêtres de l’autre côté de votr
Conversations avec le vieil Harold (II)
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