C’est bien parti pour mal finir

Si vous avez aimé la réforme des rythmes scolaires de Vincent Peillon, vous allez adorer celle des programmes de Najat Vallaud-Belkacem. C’est ainsi5. L’histoire récente de l’école en France est jalonnée d’escarmouches légères qui débouchent sur des crises de nerfs généralisées, de projets de réforme, ambitieux et définitifs, qui se terminent en grossesses nerveuses6. Et, à la fin, rien. Ce qui s’appelle rien du tout. Rappelez-vous : c’est

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