Messieurs les critiques, vous n’en ratez, décidément, pas une1. Entendons-nous. Que le jury du XIVe Festival international se ridiculise ou non en couronnant, plutôt que La Dolce Vita, telle ou telle production moyenne, ou même simplement honorable, cela n’a pas une très grande importance. Personne ne fait attention aux colifichets des festivals. Que la plupart des spectateurs, venus faire un tour sur la Croisette sous prétexte de cinéma, passent à côté d’un des plus beaux poème
Cannes : La Dolce Vita
Le festival refuse son chef-d’œuvre
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