Paradoxal ? N‘est-il pas abusif d’enfermer Camus dans un débat posthume sur sa position entre foi et justice à l’occasion du cinquantième anniversaire de sa mort ? Il peut sembler à première vue que l’écrivain ait donné de son vivant une réponse à cette alternative. La presque totalité de son œuvre de publiciste ou d’essayiste et une grande partie de ses pièces sont une quête opiniâtre de justice, si bien qu’on en vint à le surnommer le Juste
Camus entre la justice et la foi chrétienne…
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