Ce ne sera pas faute d’avoir essayé Après Dante, Machiavel, Goldoni et Pirandello, tous indiscutables, on pouvait se demander qui viendrait compléter le prestigieux « Club des cinq » écrivains italiens pléiadifiés. J’espérais, sans trop y compter, Alessandro Manzoni ou Giovanni Verga. Ou Italo Svevo. Ou Cesare Pavese. Voire, en descendant d’un cran, Giorgio Bassani ou Elsa Morante, qui auraient bien leur place sur papier Bible. Las ! Ce fut Calvino (Italo, lui aussi, mais à
Calvino, l’écrivain qui pensait trop

Romans :
Le Sentier des nids d’araignée ; Le Vicomte pourfendu ; Le Baron perché ; Le Chevalier inexistant ; Marcovaldo ou les Saisons en ville ; Les Villes invisibles ; Si par une nuit d’hiver un voyageur ; Monsieur Palomar
Italo Calvino
Édition publiée sous la direction d’Y. Hersant, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2024
1274 pages
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