Calvino, l’écrivain qui pensait trop

Calvino, l’écrivain qui pensait trop

Romans :
Le Sentier des nids d’araignée ; Le Vicomte pourfendu ; Le Baron perché ; Le Chevalier inexistant ; Marcovaldo ou les Saisons en ville ; Les Villes invisibles ; Si par une nuit d’hiver un voyageur ; Monsieur Palomar

Italo Calvino

Édition publiée sous la direction d’Y. Hersant, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2024

1274 pages

Ce ne sera pas faute d’avoir essayé Après Dante, Machiavel, Goldoni et Pirandello, tous indiscutables, on pouvait se demander qui viendrait compléter le prestigieux « Club des cinq » écrivains italiens pléiadifiés. J’espérais, sans trop y compter, Alessandro Manzoni ou Giovanni Verga. Ou Italo Svevo. Ou Cesare Pavese. Voire, en descendant d’un cran, Giorgio Bassani ou Elsa Morante, qui auraient bien leur place sur papier Bible. Las ! Ce fut Calvino (Italo, lui aussi, mais à

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Christophe Mercier

Christophe Mercier

Ancien élève de l’École normale supérieure. Agrégé des lettres. Critique littéraire au Figaro et aux Lettres françaises. Dernier ouvrage paru : L’Impasse turquoise (Bookelis, 2024).