De la maison de La Croix-des-Âmes Bernanos sera resté jusqu’à la fin un gaulliste réfractaire au gaullisme même. Exilé depuis 1938 au Brésil, Bernanos entend à la radio, en juin 1940, la voix inconnue et, dira son fils, pleure silencieusement. Il se rallie à cette voix, et s’y tiendra jusqu’à la victoire. Dans leur maison de La Croix-des-Âmes, on mettait des fleurs devant le portrait du Général. Bernanos se fait le propagandiste de la France Libre. Français, ceux
Bernanos et de Gaulle
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