Inutile de s’étendre sur la Pléiade de ce début d’année : chacun sait que Les Liaisons dangereuses est l’un des fleurons du roman français (Gide le plaçait même en deuxième place d’un palmarès imaginaire de l’art romanesque, toutes littératures confondues, juste derrière La Chartreuse de Parme), et Laclos bénéficie aujourd’hui – comme Rimbaud, comme Molière – d’une troisième édition dans la Pléiade. On se demande cependant pourquoi
Barrès revient… mais pas dans la Pléiade
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article