En 1968, au moment où le critique d’art Eanglais John Russell préparait pour la Tate Gallery de Londres une importante rétrospective des oeuvres de Balthus, l’artiste lui enjoignit de faire figurer au catalogue la phrase suivante : « Balthus est un peintre dont on ne sait rien. » Ce besoin extrême de préserver son intimité paraît singulier, surtout de la part d’un artiste, c’est-à-dire d’un personnage dont, après tout, l’objectif principal dans la v
Balthus : le cas singulier du comte de Rola
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