Eugène Berg

Diplômé en économie (Cambridge) et en droit (faculté de droit de Paris), ancien élève de l'Institut d'études politiques de Paris et de l'ENA. D'abord consul général à Leipzig, il a été ambassadeur de France en Namibie et au Botswana de 1998 à 2003, puis aux îles Fidji, à Kiribati, aux îles Marshall, aux États Fédérés de Micronésie, à Nauru, à Tonga et à Tuvalu entre 2004 et 2006. Il a également été représentant de la société Total à Mourmansk, de 2008 à 2013. A publié : Non-alignement et nouvel ordre mondial (PUF, 1980) ; La Politique internationale depuis 1955 (Economica, 1990), couronné par l'Académie des sciences morales et politiques ; Chronologie internationale (1945-1997) (4e éd., PUF, « Que sais-je ? », 1997) ; Un ambassadeur dans le Pacifique (Hermann, 2000) ; La Russie pour les nuls (First, 2016) ; À la recherche de l'ordre mondial (Apopsix, 2018) et De l'ordre européen à l'ordre mondial (Nombre 7 éditions, 2021).
E-mail : eugene.berg@wanadoo.fr

Mise à jour dans le numéro 177
Article Revue
Quand Hitler et Staline se partagèrent la Pologne Printemps 2022
n° 177
Quand Churchill s'en va-t-en guerre Automne 2019
n° 167
Vassili Grossman, le grand témoin russe de la Seconde Guerre mondiale Hiver 2007
n° 120
Voyages en Orient Automne 1997
n° 79
I. De Giotto à Kandinsky. II. Un parcours à travers les civilisations Automne 1996
n° 75
II. Le deuxième millénaire Printemps 1996
n° 73
I. L'art juif Printemps 1996
n° 73
Chronique de Citadelles : préhistoire de l'art occidental, Ingres Hiver 1995
n° 72
L'art de l'Asie du Sud-Est Printemps 1995
n° 69
L'Art de l'Égypte Automne 1994
n° 67
L'art océanien Été 1994
n° 66
L'art grec de Kostas Hiver 1993
n° 64
Le consensus obsessionnel Été 1993
n° 62
Art américain Printemps 1993
n° 61
L'art russe Automne 1992
n° 59
L'affiche Hiver 1991
n° 56
Napoléon, missionnaire de la Révolution française Printemps 1991
n° 53
Une prévision sur l'U.R.S.S. Automne 1990
n° 51
ÉLOGE DE LA BEAUTÉ ET DE L'ÉRUDITION
« Cioran, considérant la suite de merveilles inventées par la France depuis mille ans, lui accorde le droit de se reposer. De mon côté, j’ai décidé très tôt qu’il ne fallait pas se laisser impressionner par la décadence. J’ai cherché, enseigné et écrit pour faire revivre, au moins par la mémoire, quelques siècles de fécondité française. J’ai été jusqu’à apostropher l’État français et le sommer de faire passer toujours notre patrimoine et notre langue avant le soutien servile aux divertissements de masse. »
Pour Commentaire, le 18 août 2017

 Marc Fumaroli est avec Raymond Aron, Jean-Claude Casanova et Pierre Manent un des fondateurs de Commentaire. Retrouvez tous ses articles sur notre site.