Non bis repetita Le paradigme de la Guerre froide a une saveur de « reviens-y ». Il aide à appréhender les enjeux de défense actuels, et surtout il rassure. Le cadre stratégique d’alors était celui du « tout ou rien », laissant peu d’espace entre le gel nucléaire ou l’apocalypse girardienne ; une apocalypse que les blocs, de la crise des missiles aux Pershing, se sont abstenus de provoquer. C’était l’ère du duel, un schéma qui convient bien à la culture clausewi
Armée de Terre et défense de l’Europe
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