Proscrit par Bonaparte après son passage houleux au Tribunat, suspect sous la Seconde Restauration pour son ralliement au même durant les Cent-Jours, Benjamin Constant attend 1817 pour tenter d’entamer une carrière politique sous les Bourbons restaurés. Deux échecs ne le découragent pas, et une élection complémentaire, en mars 1819, lui permet d’entrer à la Chambre basse parmi la députation de la Sarthe, déjà forte d’un La Fayette depuis novembre précédent. Peu de temps avant
Anciens et Modernes : de la liberté selon Benjamin Constant
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