Ainsi va l’histoire des constitutions

La Constitution de l’an III, dont l’auteur des Considérations se moque, tenait déjà compte à sa manière, autant qu’elle le pouvait dans l’effervescence, de cette moyenne encore informe de la nation que les journées de Fructidor et autres coups d’État refoulèrent. Le Consulat surtout en tint compte et s’y fonda ; l’Empire à la fin la méconnut tout à fait et se perdit. C’est également pour avoir méconnu ce quelque chose de mixte qu&rsqu

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