Philippe MANIÈRE, À bas tous les privilèges C’est un plaisant paradoxe : dans le fond, si la gauche revenait aux affaires en 2012, le programme qu’elle devrait se donner pour être fidèle à elle-même et à la hauteur des défis auxquels est confronté le pays consisterait, tout simplement, à faire ce que le candidat Sarkozy avait promis cinq ans avant. En 2007, le candidat de la droite avait réussi &ag
À bas tous les privilèges
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