Avant la guerre – ici nous disons, tout court, « avant » – les défilés des modèles de la saison, dans les salons de la couture parisienne, étaient des spectacles frivoles22. Les heures de l’après-midi s’y consumaient légères, et beaucoup de femmes y trouvaient la satisfaction de leurs penchants les plus vifs : la curiosité, la coquetterie et la médisance. N’oublions pas la gourmandise, on ne marchandait pas, alors, le thé excellent et le toast, l’orange
1943 : la mode à Paris
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