C'est d'une coutume anglaise dont nous voudrions nous inspirer. En fin d'année, plusieurs de nos confrères britanniques publient une rubrique dans laquelle les collaborateurs du journal, ou de la revue, parlent librement et brièvement de leurs lectures, qui ne portent pas nécessairement sur des livres parus dans l'année. Nous avons offert cette possibilité aux membres du comité et du conseil de rédaction de la revue. Voici le résultat. Nous ferons de même en 2011, et ainsi de suite. COMMENTAIRE
Gilles Andréani Lorsque Barrès mourut en 1923 il fut évident pour la France – qui lui fit des funérailles nationales – qu'elle perdait son plus grand écrivain. Il était une gloire nationale, suscitait l'admiration et l'estime de Proust...