Chacun désormais est supposé détester « la finance ». Croit-on sérieusement qu'on peut toujours faire des choix judicieux (c'est-à-dire économe en ressources et rentables en résultats) sans la libre évaluation et la libre allocation des capitaux et des créances ? COMMENTAIRE
S'il fut un thème porteur dans notre campagne électorale, c'est bien la détestation de la finance. L'un des principaux candidats, avec des accents à la Gambetta, proclamait : « la finance, voilà l'ennemi » ; l'autre, moins éloquent, n'était pas en reste et promettait les mesures les plus...