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La guerre pour l’art ?

Jean-Pierre Daviet, Pierre Grégory

N° 153 Printemps 2016

Chroniques


En 1801, Lord Elgin, septième comte de ce nom, obtenait de la Sublime Porte l'autorisation de démonter des marbres de l'Acropole d'Athènes qui furent transportés en Angleterre et ensuite exposés au British Museum. En 1860, le huitième comte d'Elgin jouait un rôle dans le sac du palais d'Été à Pékin, même s'il n'en fut pas l'unique responsable : pillage et destruction sont parfois deux aspects de la politique de grandes puissances. Aujourd'hui la Chine, très consciente de son poids dans une économie globalisée, revendique la restitution de certaines pièces considérées comme volées. Les œuvres d'art peuvent désormais attiser des conflits internationaux.

P. G. ET J-P. D.

Il est bien acquis que les œuvres d'art constituant le patrimoine artistique majeur d'un pays peuvent servir de supports aux terroristes qui se saisissent de tous moyens pour apeurer, abrutir et martyriser. Elles peuvent aussi constituer des poisons dans les relations internationales. Les sculptures des frises du Parthénon...

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