À Commentaire, nous connaissions tous Françoise Cachin, nous l'admirions et nous ne l'oublierons pas : pour ce qu'elle était, pour son courage, pour son intelligence des arts, pour le métier qu'elle avait exercé avec autorité, discernement et désintéressement, pour le rôle qu'elle avait joué en installant le musée d'Orsay puis en dirigeant les Musées de France, pour la lutte qu'elle avait menée dans la défense du patrimoine, contre le clinquant, contre la commercialisation, contre les mirages en Orient ou ailleurs. On lira ici la chronique de Philippe Meyer qui a été son ami et qui dit mieux que nous quelle grande dame nous avons perdue. La revue présente ses condoléances affectueuses à Georges Liebert et à Charlotte Liebert-Cachin dont nous partageons la peine. J.-C. C.
L'énergie souriante de Françoise Cachin Françoise Cachin, qui vient de mourir, fut le premier directeur de ce musée d'Orsay qu'elle avait contribué à concevoir avec une troupe joyeuse, savante et inspirée réunie autour de Michel...